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Votre e-caviste belge Wines of Earth vous invite à explorer son catalogue de spiritueux, des boissons alcoolisées simples ou composées, pour partir là encore à la découverte du monde entier. Nous entrons ici dans un univers magique aux arômes complexes, issus de la distillation, de la macération ou encore de l'infusion d'un ou plusieurs ingrédients. Chaque alcool nous raconte une histoire, sur sa région d'origine comme sur son ou ses producteurs, et c'est ce que je souhaite vous transmettre, accompagnée de quelques bonnes idées de dégustation en cocktail, pour l'apéritif comme pour un moment de détente.
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L’anis est en réalité le nom donné à une famille de végétaux aromatiques :
L’anis, c’est aussi un goût très caractéristique de réglisse conféré par l’huile essentielle d’anéthol, que l’on retrouve dans de nombreuses boissons. D’autres plantes dévoilent des arômes similaires : fenouil, absinthe, aneth…
Et pour l’appellation « pastis » ? Elle provient du mot « pastisson », un terme originaire de Provence, ainsi que du mot « pasticchio » en Italie. Tous deux désignent l’idée de mélange, d’amalgame.
La turbidité lors du mélange avec l’eau est due à la précipitation de l’anéthol qui se dissout mal. On retrouve le même phénomène si l’apéritif est mis au réfrigérateur. On parle par exemple de pastis paillette.
On pourrait être tenté de croire que le pastis des marques français comme Pernod – Ricard symbolise la boisson anisée tant ces marques ont imposé leur publicité. Or il existe de nombreux alcools anisés à travers le monde, principalement autour de la Méditerranée :
Par extension, l’anis est aussi un ingrédient important pour aromatiser d’autres alcools dans lesquels on retrouve ses parfums : aquavit, gin, schnapps, kummel, brennivin, absinthe…
La première mention de l’emploi de l’anis en tant que plante médicinale se trouve dans un papyrus égyptien datant de 1600 ans avant J.C. Mais son usage était déjà courant 4000 ans avant J.C. On en a retrouvé des traces à Santorin, en Crête, en Mésopotamie et jusqu’en extrême orient. L’anis et la badiane sont alors des ingrédients de choix pour aromatiser les boissons et la cuisine.
À ce jour, le premier apéritif anisé connu de l’Histoire est le propoma, une boisson provenant de Nicée en Grèce antique (actuellement en Turquie). Cette boisson s’exporte rapidement sur tout le pourtour de la Méditerranée avant que chaque région commence à créer ses propres recettes dont les noms sont évoqués plus haut.
Les Romains dégustaient par exemple du vin anisé associant du vin et des plantes aromatiques dont l’anis. L’anis vert utilisé provenait d’Asie Mineure ou d’Egypte, puis fut remplacé par la badiane de Chine, plus aromatique.
Le moyen-âge vit fleurir de nombreuses boissons contenant des épices et de l’anis appréciées pour leurs saveurs aromatiques et leurs vertus médicinales : vins d’armoise, hypocras, absinthe… En France par exemple, l’Ordre des anysetiers du Roi (Saint-Louis, 1263) était en charge de contrôler l’approvisionnement de l’aromate dans le royaume.
Grands producteurs d’anis de par leurs possessions, les Hollandais contribuèrent largement à l’industrialisation des boissons à base de l’aromate. L’apparition de l’absinthe au 18e siècle éclipsa temporairement les alcools anisés (du moins en Europe occidentale) avant un retour à partir du début du 20e siècle. Ce nouveau siècle vit fleurir une quantité impressionnante de nouvelles marques et distilleries : Ricard, Pernod, Henri Bardouin, Casanis, Duval, Cristal d’anis, Berger blanc, Pontarlier… Certaines sont encore en activité, ou ont été rachetées par de plus grands groupes.
C’est à partir des années 1980 qu’un renouveau s'opère dans le milieu des alcools anisés en Belgique, en France et dans tous les pays consommateurs. Les clients souhaitent alors consommer des apéritifs plus complexes et plus aromatiques. Chaque distillerie innove donc avec de nouveaux mélanges d'aromates et d'épices ainsi que de nouveaux produits aux différentes couleurs (blanc, jaune, bleu…).
Les anisés sont reconnus pour leurs qualités aromatiques et rafraîchissantes issues d’extraits naturels. On peut citer l’anis étoilé, l’anis vert, le fenouil, le réglisse et d’autres plantes qui entrent dans leur composition.
La production d’une boisson anisée varie selon la recette de la distillerie. En règle générale, les essences d'anis et de fenouil sont distillées à part. Les sucs et autres plantes aromatiques sont extraits quant à eux par percolation. Essences et sucs sont ensuite mélangés à de l'alcool pur (96%) ayant subi une triple distillation et à de l'eau purifiée pour ramener la boisson à la teneur en alcool souhaitée. La macération peut alors durer entre 24 et 72 heures. L'ajout du sucre (et éventuellement de caramel) a lieu à ce moment. Le tout est ensuite filtré et mis en bouteille
Évidemment, chaque distillerie possède sa recette propre, avec des quantités diverses en extraits naturels, en alcool, en anéthol, en bois de réglisse, en eau et en sucre. Par exemple, la couleur blanche de l’anisé blanc provient de l’absence de réglisse dans la recette.
Pour de nombreuses personnes, consommer un apéritif comme le Ricard, c’est 1 volume d’apéritif avec 5 volumes d’eau. Mais il existe bien d’autres manières de marier une boisson anisée avec d’autres. Voici une petite sélection de cocktails existants pour vous inspirer et surprendre vos amis et convives :
Difficile de connaître les subtilités des différents alcools anisés disponibles sur le marché si vous ne les avez pas goûtés. Vous pouvez vous appuyer sur mes avis de dégustation qui se trouvent sur les fiches techniques des produits. N’hésitez pas aussi à me contacter directement par le tchat pour poser vos questions sur un produit, son prix, la livraison, la sélection de la gamme proposée ou les meilleurs cocktails. Je vous donnerai mes conseils pour choisir la meilleure référence comme cadeau de Noël ou d’anniversaire et réussir votre soirée mixologie.
Le brandy est un terme anglophone utilisé pour parler des eaux-de-vie obtenues par distillation de jus de fruits, de plantes ou de vin. L’OIV (Organisation internationale de la vigne et du vin) utilise également l’appellation weinbrand.
Dans les pays de l’UE, le brandy est une boisson spiritueuse vinicole obligatoirement issue d’une eau-de-vie de vin, d’un assemblage d’eau-de-vie de vin ou de distillats de vin. Il doit titrer au minimum 36 % en volume. Un élevage d’1 an minimum en fûts de chêne est requis, 6 mois si le contenant est inférieur à 1000 litres (10 hL). Aucune réglementation nationale n’existe cependant.
L’UE autorise toutefois quelques exceptions. Certaines liqueurs non issues de produits vinicoles peuvent comporter le nom de brandy :
Les règles sont plus souples dans le reste du monde. Les Américains et les Russes définissent par brandy toute boisson obtenue à partir de produits viniques, sans nécessité de vieillissement sous bois. Des pays comme l’Afrique du Sud, l’Inde, les Philippines et bien d’autres ouvrent même l’appellation à toute boisson obtenue à partir d’alcool éthylique d’origine agricole, donc à partir de fruits, de plantes, de mélasse, etc.
Le terme anglophone de brandy est issu de plusieurs appellations médiévales et modernes signifiant vin brûlé (distillé) ou eau-de-vie :
Le brandy n’est pas apparu soudainement en Europe. Son histoire est corrélée au développement du commerce du vin sur le continent. Utilisée dès le 12e siècle en Italie, la technique de « brûler » le vin (eau ardente ou eau-de-vie) permet d’améliorer la conservation du produit pour le transport.
Ce sont les Hollandais qui perfectionnent la technique, avec le développement de la distillation industrielle au 16e siècle. Dominant alors le commerce maritime dans le nord de l’Europe, ils s’assurent ainsi de commercer des produits qui tiennent le choc après plusieurs mois de bateau. Le vin produit à Cognac, dans l’ouest de la France, profite largement de ce procédé et du réseau hollandais.
La première étape est l’obtention d’un jus de fruits, de plante ou autre. Cela peut être du raisin, de la pomme, de la poire, de la prune, de la canne à sucre, de la mélasse… L’étape suivante consiste en la fermentation de ce jus pour obtenir une boisson alcoolisée. La distillation permet ensuite de séparer l’eau de l’alcool et des arômes. Peuvent être utilisés :
Vient enfin l’élevage, en fûts de chêne ou dans un autre contenant selon le goût souhaité. Hormis dans l’UE, l’élevage peut être très court. Pour obtenir un brandy à la robe ambrée, il est possible de passer par un vieillissement en barrique ou par l’adjonction de colorants.
La réglementation étant assez libre dans les pays hors UE, les marques ont le droit d’utiliser des techniques et des ingrédients divers tels que des fruits, du caramel, de la vanille, des copeaux de chêne… pour créer unstyle unique.
Comme pour toutes les familles de spiritueux, le brandy regroupe plein de styles différents et de termes propres à son univers. Voici un petit lexique des types de brandy à connaître :
Voici maintenant un rappel des différents vieillissements :
Boisson extrêmement marketée, le brandy se décline en pas moins de 27 appellations qui s’imbriquent dans ces échelles de vieillissement :
L’UE a longtemps compté une douzaine d’indications géographiques de brandy. Il en reste 6 depuis 2015 :
Bien sûr, il existe bien d’autres brandy très connus en Europe et dans d’autres pays du monde :
On trouve la mention de cognac sur certaines eaux-de-vie en Arménie (ararat) ou en Russie, vestige de l’époque soviétique. Mais le véritable cognac est une appellation d’origine contrôlée qui provient exclusivement de la région autour de la ville de Cognac, dans l’ouest de la France. Le cahier des charges prévoit 5 cépages pouvant entrer dans sa composition :
Après distillation, il doit subir un vieillissement de 6 mois en fûts inférieurs à 1000 L, 12 mois sinon. Son titre volumétrique atteint obligatoirement 40 % en volume.
Le brandy se boit sec ou en cocktail. C’est une boisson plus difficile à appréhender que le rhum plus sucré ou le gin plus léger. Comme le whisky, il se suffit généralement à lui-même. Bien que cette assertion soit réductrice : il existe tellement de brandy différents ! Cette eau-de-vie souffre encore d’une image un peu désuète de digestif de fin de repas de fête ou d’alcool de pâtisserie.
Mais les baristas tentent avec brio de le faire revivre et la liste des cocktails possibles est plutôt fournie, liste dont voici quelques exemples :
L’achat de brandy en ligne reste compliqué tant il y a de références. En plus, la dégustation est généralement impossible avant de commander. E-caviste spécialisé dans les vins et spiritueux du monde, j’accompagne mes clients dans leur sélection de brandy afin d’être sûr de choisir la bouteille idéale. J’apporte aussi beaucoup d’éléments (arômes, producteur, prix, cocktail…) sur les fiches techniques des produits que j’ai en stock.
Besoin de conseil pour un coffret anniversaire, une soirée mixologie ou un cadeau de Noël ? Une questionconcernant le prix d’une bouteille de brandy ou la livraison de votre commande ? Je réponds à toutes vos interrogations via le Facebook Messenger de la boutique.
Les premières mentions du gin remontent au 16e siècle et nous proviennent de Hollande, sous le nom de genever ou jenever. Ce spiritueux ou eau-de-vie, élaboré à base de baies de genévrier, est importé dès 1575 en Angleterre. Il devient même sous Guillaume III d’Orange, à la fin du 17e siècle, la seule eau-de-vie autorisée dans le royaume d’Angleterre, désormais produite sous l’appellation gin. Cette époque marque la scission entre les gins hollandais (double distillation) et les premiers gins anglais ou London Gin Dry (simple distillation).
La distillation du gin se développe dans le monde entier, d’abord par le biais de l’empire britannique, puis des migrants qui emportent avec eux leur boisson favorite au goût de genièvre si caractéristique.
La dégustation de gin devient une véritable science lorsque le premier manuel de mixologie paraît en 1862. Elle connaît son âge d’or dans les années 1920, avec un essor impressionnant des cocktails (créés cependant bien avant la Prohibition), jusque dans les années 1960 ou le gin, en panne d’inspiration, est supplanté par la vodka, le rhum et le whisky.
En perte de vitesse après les années 1960, le gin retrouve des couleurs à partir des années 2000. On l’aime historique, moderne ou artisanal. On l’aime pour ses combinaisons incroyables de botaniques et d’aromates. On l’aime pour la diversité des recettes de cocktail qu’il permet. On l’aime tellement qu’il a ses bars et ses rooftops dédiés, ses bartenders spécialisés et ses cours de mixologie attitrés.
Il a ses grandes marques comme le gin Bombay Sapphire London Dry de Bacardi, le Tanqueray Ten Gin écossais, l’autre célèbre gin écossais Hendrick’s, le gin français G’Vine, le gin japonais Nikka Coffey Gin, le gin français Citadelle de la Maison Ferrand, le gin Mare, le Cotswolds Gin Dry...
Le gin, c’est l’art de la dégustation, presque un art de vivre. C’est une sorte de lifestyle qu’on partage entre amis. Ce spiritueux offre des possibilités infinies, et c’est pour cette raison qu’il séduit autant de nouveaux consommateurs. En bouche, le gin est secret et exubérant. Il arbore des couleurs chatoyantes et des arômes qui nous font voyager dans le monde entier. Il donne des émotions et c’est bien ce que l’on recherche.
Pour l’élaboration du gin, on a besoin d’un alcool neutre, la plupart du temps issu :
Il faut ensuite sélectionner ses aromates ou botaniques, souvent entre 6 et 10, parfois plus de 40 ! Le principal est la baie du genévrier qui a donné son nom au spiritueux. Il faut ensuite obligatoirement retrouver l’angélique et la coriandre. On retrouve aussi, en dosage varié, d’autres produits qui vont raconter l’histoire du gin :
La production du gin en alambic peut prendre plusieurs formes :
La chauffe de l’alambic fait évaporer l’alcool que s’imprègne au passage des divers parfums. Il est ensuite possible de redistiller le gin pour réduire le taux d’alcool, ou de le diluer avec de l’eau pure jusqu’à obtention du degré souhaité. Le gin repose quelques heures en cuves avant d’être filtré puis mis en bouteille à la distillerie.
On trouve 4 principaux styles de gin produits à ce jour, avec 2 autres formulations dérivées :
Pour régaler vos invités avec une délicieuse recette de cocktail à base de gin, rien de plus simple : il existe une littérature très abondante sur le sujet. Mélange au shaker ou à la cuillère, choix du verre et des accessoires, forme des glaçons, choix des combinaisons de saveurs, de notes fruités, de tonic… Vous le préférez sec sur glace ? Avec une eau pétillante, un trait de citron ou un tonic ? Attention, vous entrez sur un terrain de jeu sans limite !
Un conseil : dégustez les classiques dans un premier temps :
Le gin est la boisson des occasions. Une occasion de se détendre. Une occasion aussi de partager un bon moment entre amis. Des souvenirs aussi. C’est l’occasion de voyager dans des endroits lointains, avec des noms de gins qui évoquent des histoires et des aventures humaines. Prenez le temps de comprendre d’où vient votre bouteille de gin, par qui et pourquoi elle a été composée avec telles baies, tels aromates ou telles plantes.
Personne ne naît en sachant choisir le gin qui lui convient. Si vous ne savez pas quel gin choisir, vous pouvez vous référer à mes notes sur les fiches techniques. Vous pouvez également me contacter directement par le tchat pour poser vos questions sur le prix, la livraison, la sélection de la gamme proposée ou les meilleurs cocktails. Je vous donnerai mes recommandations pour choisir le bon cadeau de Noël ou d’anniversaire, ou tout simplement pour réussir votre soirée mixologie et dégustation.
À mon avis, cela dépend surtout de l’occasion et du goût du produit. J’aurais tendance à conseiller de déguster ce type de spiritueux à l’apéritif ou en fin de repas comme digestif (1 à 2 cl par exemple). Il est tout à fait possible de déguster une liqueur ou une crème pure, simplement avec des glaçons. Ces boissons entrent aussi dans la composition de nombreux cocktails et peuvent être intégrées en cuisine.
Pour une dégustation optimale, il convient de servir votre liqueur rafraîchie, mais pas froide pour ne pas bloquer les arômes.
Il suffit de faire un tour sur différents sites pour se rendre compte que le terme de liqueur est rapidement utilisé pour des produits qui n’en sont pas.
Les liqueurs font partie de la famille des spiritueux : la distinction provient de la teneur en sucre. Ce sont des alcools aromatisés et sucrés, obtenus à partir d’un mélange d’alcool neutre d’origine agricole (betterave, céréales, vin, canne à sucre…) ou d’alcool d’eau de vie (cognac, rhum, calvados, gin, vodka, whisky…). On y ajoute ensuite, au choix selon le souhait de la distillerie, du sucre, des fruits, des plantes ou d’autres aromates.
Il existe 4 grandes variétés des liqueurs :
La définition d’une liqueur est assez large car différents procédés sont utilisés pour l’élaboration de ce type de produit : macération, infusion de fruits ou de plantes, distillation… Certaines sont même vieillies en fûts (verveine de Velay) ou en foudres de chêne (Chartreuse, Fernet-Branca).
La règle commune est l’obligation d’avoir une teneur en sucre minimale de 100 grammes par litre, ce qui autorise la distillerie à apposer la mention liqueur sur l’étiquette de la bouteille. Le volume d’alcool minimal d’une liqueur doit être 15%.
Pour une crème, le taux de sucre doit être supérieur à 250 grammes par litre. Leur texture se marie bien avec les vins blancs et les bulles (kir). Pour la crème de cassis, la distillerie doit même obtenir une proportion de 400 grammes pas litre.
Il est possible d’obtenir une liqueur ou une crème à partir d’à peu près tout :
Les liqueurs de plantes sont les plus anciennes et les plus complexes de ces spiritueux sur le plan gustatif. La recette de la Chartreuse regroupe par exemple près de 130 ingrédients… Elles ont longtemps été réputées pour leurs valeurs thérapeutiques, et les monastères ont très bien su exploiter ce marché. Ces liqueurs évoluent en bouteille exactement comme les grands vins.
Du côté des liqueurs de fruits, les alcools sont moins complexes. Ils restituent très bien le goût primaire des fruits frais mais ne gagnent pas à vieillir.
Les 2 méthodes privilégiées pour créer des liqueurs sont la distillation et la macération.
Dans le cadre de la distillation, on introduit les ingrédients (plantes, fleurs, fruits, graines, aromates…) dans l’alambic au-dessus de l’alcool et on fait chauffer. La vapeur transporte le distillat (ou alcoolat) auquel on ajouter ensuite du sucre et de l’eau. Par ce biais, l’extraction des arômes est optimale.
Pour la macération ou l’infusion, on mélange directement les ingrédients dans l’alcool neutre, et ce, pendant 2 à 9 mois selon les liquoristes et les recettes. L’eau et le sucre sont ajoutés à la fin du processus : le dosage est toujours un secret bien gardé.
Votre découverte des liqueurs ne serait pas complète sans un point histoire. Le développement de ces spiritueux est étroitement lié à l’arrivée de l’alambic en Occident à partir des invasions turques du 14e siècle. Les papes en Italie ont même accès dès le 13e siècle à ces remèdes procurés par leurs médecins.
Les moines et les apothicaires produisaient alors des élixirs de vie sucrés au miel pour leurs qualités thérapeutiques, à partir d’infusion ou de macération, dans la lignée de produits comme l’hypocras ou le garhiofilatum. L’objectif est avant tout de soulager les douleurs.
Ces liqueurs deviennent des boissons réputées dès le 17e siècle, avec la création de spiritueux issus de la macération de plantes dans l’alcool. La cour de Louis XIV boit de la Popula et du Rossolis. Celle du roi de Lorraine préfère le Vespretto en digestif. La population ne tarde pas à avoir accès à ces liqueurs et à en produire de façon plus locale.
L’ouverture de nouvelles routes commerciales donne accès à de nouveaux produits (épices…) et fruits exotiques, offrant de nouvelles saveurs. Les liqueurs deviennent alors davantage un alcool d’apéritif qu’un simple médicament.
Bien qu’aujourd’hui, la consommation de liqueur reste cantonnée à la dégustation en apéritif ou en digestif, elle revêt encore cette image de boisson thérapeutique, aidant à digérer ou à soigner divers maux.
Je me ferai un plaisir de vous conseiller une liqueur adaptée à vos besoins ou au goût d’un proche pour un cadeau. Il vous suffit d’aller consulter mes fiches techniques pour en apprendre davantage sur les produits de différents pays. Vous pouvez aussi me contacter via le tchat pour avoir un avis sur chaque produit disponible en stock, ou pour davantage d’informations sur la livraison.
Le rhum (aussi appelé « rum » ou « ron ») est un spiritueux issu de la distillation de jus de canne à sucre fermenté (rhum agricole) ou de sous-produits fermentés du raffinage du sucre ou de mélasse (rhum industriel ou traditionnel). Le degré minimal d’alcool du rhum est de 37,5% dans l’UE. Pour être vendue sous ce nom, cette eau-de-vie respecte plusieurs critères :
L’histoire du spiritueux est étroitement liée à la colonisation européenne de l’Amérique (15e siècle) et au développement de la distillation industrielle en Hollande (16e siècle). Originaire du sud-est asiatique, la canne à sucre sert déjà à produire des boissons alcoolisées depuis l’Antiquité. La plante est introduite aux Caraïbes par Christophe Colomb en 1493. La première mention actuellement connue de la fabrication du « rum » remonte à 1688, dans la colonie anglaise de la Barbade, où des alambics ont été importés.
Jusqu’au 20e siècle, la fabrication de l’eau-de-vie se limite principalement aux régions tropicales productrices de canne à sucre : Antilles (Martinique, Guadeloupe), Caraïbes, Amérique latine, Amérique du Sud, Madagascar, île de la Réunion, île Maurice. Sa culture couvre aujourd’hui près de 20 millions d’hectares dans le monde. Cependant, la production de mélasse issue de la betterave sucrière et la facilité de l’import ont aussi permis de produire des rhums en Europe (en Belgique notamment !) et dans le monde entier.
Quant au mot « rhum », il pourrait provenir du terme anglais « rumbullion » ou « rumbustion » signifiant « bagarre ». Mais bien d’autres théories existent !
Cette boisson spiritueuse est obtenue de 2 manières :
Il existe 3 modes de fermentation :
Les arômes dépendent largement du choix de la matière première et du mode de fermentation. S’ensuit la distillation en colonne (rhums légers) ou en alambic / batch (rhums riches et concentrés) pour séparer l’eau de l’alcool. Les distilleries peuvent ensuite opter pour des assemblages et différentes méthodes de vieillissement (fûts de chêne, cuves diverses…).
L’univers du rhum est émaillé de classifications complexes liées à la composition du spiritueux, à son origine, à sa teneur en substances volatiles, à la méthode de production…
Pour faire simple, voici quelques catégories et termes pour vous éclairer sur le vocabulaire du rhum :
Le succès du rhum repose sur la facilité d’accès des arômes à un grand public, rum lover comme néophyte. Le spectre aromatique est extrêmement large (vanille, caramel, chocolat, pâtisserie, fruits exotiques, épices, fruits sec, fumé, réglisse…). Le côté velouté et gourmand, sans acidité ni amertume, fait le reste. Ce qui fait que tout le monde peut trouver un rhum, un ron ou un rum à son goût, sec ou arrangé.
Ce spiritueux offre aussi un terrain de jeu sans limite pour les fans de mixologie. Et les cocktails à base de rhum sont souvent très faciles à boire même pour des non-connaisseurs :
Il suffit d’un minimum de matériel (doseur, shaker, passoire filtre, pilon, verres) pour préparer de délicieux cocktails maison et régaler vos amis.
L’achat de rhums en ligne reste compliqué tant il y a de références. En plus, la dégustation est impossible avant de commander. E-caviste spécialisé dans les vins et spiritueux du monde, j’accompagne mes clients dans leur sélection de rhum, de rum ou de ron afin d’être sûr d’offrir le cadeau adapté. De nombreux détails sur les rhums (arômes, producteur, cocktail…) sont disponibles sur mes fiches techniques.
Besoin de conseil pour un coffret anniversaire, une soirée mixologie ou un cadeau de Noël ? Un renseignement concernant le prix d’une bouteille de rhum ou la livraison de votre commande ? Je suis disponible via le Facebook Messenger de la boutique pour répondre à vos questions.
Le vermouth est un apéritif à base de vin fortifié par ajout de mistelle, d’eau-de-vie ou de liqueur. On y ajoute également des aromates, plantes et herbes, parfois jusqu’à une quarantaine selon les recettes : clou de girofle, genièvre, quinine, écorce d’orange, coriandre, genièvre, noix de muscade…
Il existe des vermouths dry (sec) et extra-dry selon un style plutôt français, et des vermouths doux, plutôt de style italien. Cette boisson titre généralement entre 14,5 et 22% vol. Les principaux pays producteurs de vermouths sont l'Italie, la France, l’Espagne et les États-Unis.
L’histoire du vermouth est, comme la musique ou la danse, une longue succession d’inspirations.
Tout débute avec l’utilisation de l’absinthe comme plante médicinale. Un papyrus atteste déjà de son utilisation en Égypte au 16e siècle avant J.C., mais on peut sûrement remonter plus loin. Les Grecs consomment l’absinthites oinos, du vin aux extraits ou aux feuilles d’absinthe, contre les rhumatismes. Puis Hippocrate, au 4e siècle avant J.C., écrit sur le breuvage médicinal vinum absinthiatum, parfois confondu avec le premier vermouth.
Au 16e siècle, l’humaniste et herboriste italien Girolamo RUSCELLI, aussi appelé Alessio di Piemonte (1500-1566), met au point le Wermut Wein. Il s’inspire justement des travaux d’Hippocrate pour élabore un breuvage à partir d’un mélange secret de plantes, dont l’absinthe, et d’épices.
La majorité des sources semble pencher pour une apparition du vermouth au 18e siècle, dans le Piémont italien. Il aurait été « officiellement » créé par Antonio Benedetto Carpano dans une distillerie de la Piazza Castello à Turin en 1786. Celui-ci se serait inspiré d’une recette d’apéritif allemand à base de vin et de « wermut » ou « vermut », absinthe en allemand, pour créer un vin aromatisé de plantes amères et toniques ainsi que d’épices. Mais d’autres distilleries comme Cinzano se sont également lancées à la même période dans de telles productions.
Toujours est-il que ce vin fortifié et peu alcoolisé devient un apéritif de choix dans la région de Turin. Victor-Emmanuel II, duc de Savoie puis roi d’Italie au 19e siècle, consacre même le vermouth boisson officielle de la cour de la Maison de Savoie. La région du Piémont serait donc la zone historique de production, bien que la Savoie française, anciennement dans le Piémont italien, le revendique aussi.
Le vermouth se diffuse rapidement en Europe. Comme le gin, il est synonyme de remède contre différents maux (paludisme…). La période du phylloxera à partir de 1860 rend cette boisson encore plus populaire. Vous avez tous en tête ces grandes publicités de marques sur les murs (parfois encore existantes). Cet apéritif se démode après la seconde guerre mondiale. Il finit par revenir sur les devants de la scène à partir des années 2000, avec le retour en grâce de la mixologie.
Pour élaborer le vermouth, on utilise des vins blancs (sauvignon, chardonnay, muscat, calirette, picpoul…) pour un vermouth bianco ou des vins rouges (jacquère, trebbiano, zweigelt, gamay…) pour le vermouth rosso. Il est généralement neutre en goût et compose 70% de la recette. On lui adjoint une mistelle (mélange de moût de raisin non fermenté) ou un vin de liqueur, de l’alcool neutre et des herbes (armoises), des racines ou des épices (une quarantaine possible) dont :
En général, les étapes de la fabrication du vermouth sont globalement les suivantes (variations possibles selon les producteurs) :
Les vermouths peuvent être classés de différentes manières qui s’entrecroisent (ce serait trop simple sinon). On peut toutefois distinguer 3 grandes familles de vermouths en les classant :
Comme vous pouvez le comprendre, avec autant de recettes possibles, c’est un peu comme chez lesspiritueux. Le style du vermouth, et donc son goût, vont dépendre de plein de choses. Même sans y avoir jamais goûté, vous connaissez forcément déjà quelques grandes marques de vermouths comme (+ pays d’origine) :
Vous les voyez forcément, ces bouteilles colorées qui arborent de magnifiques étiquettes rétro et que l’on trouve en bonne place derrière les bars.
Côté goût, le vermouth est d’abord une boisson dévoilant une certaine amertume, évidemment variable selon les aromates employés. Comme les vins et les spiritueux, l’assemblage et la recette jouent avec les caractéristiques organoleptiques, allant des notes florales aux herbes, en passant par les épices et les notes de vanille ou de chocolat, davantage lié à l’élevage. Le vermouth bianco ou blanc est en général un peu plus sec que le vermouth rosso ou rouge. Mais le choix de la liqueur et l’ajout de sucre influent aussi sur la suavité.
La meilleure façon de déguster votre vermouth pour la première fois est nature, dans un verre tumbler ou un verre old fashion, avec des glaçons. Vous pouvez ainsi tenter de déterminer les herbes et les épices utilisées, ou encore de distinguer les notes d’agrumes, de vanille, de cannelle ou de chocolat.
Mais bien évidemment, le vermouth bianco, rosso ou rosé fera des merveilles en cocktails. Au-delà de l’amertume, cet apéritif au faible degré d’alcool vient adoucir les spiritueux plus puissants. La présence de sucre adoucit le mélange et apporte des notes aromatiques et de la complexité aux cocktails.
Les vermouths sont utilisés dans un très grand nombre de cocktails :
Notez qu’il est possible de mélanger des vermouths rouges et blancs au sein d’un même cocktail (Bronx, Bloodhound, Duc de Manchester, Casino, Little Princess…).
Le vermouth doux se marie plutôt bien avec des apéritifs salés tels que des olives, des pommes de terre frites, des anchois, des poissons, des fromages ou encore de la charcuterie. Le vermouth rouge sera à son avantage en apéritif ou en dessert ‘fruits, rouges, agrumes, chocolat). Le vermouth blanc ou dry entrera plus facilement dans la cuisine, comme en sauce avec une viande.
Le vermouth n’est pas une boisson de garde. Notez qu’une fois la bouteille de vermouth ouverte, il faudra le consommer :
L’achat de vermouths en ligne reste compliqué tant il y a de références. En plus, la dégustation est impossible avant de commander. E-caviste spécialisés dans les vins et spiritueux du monde, j’accompagne mes clients dans leur sélection afin d’être sûr d’offrir le cadeau adapté. De nombreux détails sur les vermouths (arômes, producteur, cocktail, prix…) sont disponibles sur mes fiches techniques.
Besoin de conseil pour un coffret anniversaire, une soirée mixologie ou un cadeau de Noël ? Un renseignement concernant le prix d’une bouteille de vermouth ou la livraison de vos produits ? Je suis disponible via le Facebook Messenger de la boutique pour répondre à vos questions.
Le whisky désigne un ensemble d’eaux-de-vie obtenues par distillation de céréales maltées (germées) ou non maltées fermentées sous l’action de levures. Les réglementations divergent d’un pays à un autre (France, États-Unis, Japon, Écosse…), mais certains points communs existent :
Dans l’UE, il est seulement possible d’ajouter au distillat final de l’eau et du caramel pour la couleur. Le caramel est d’ailleurs le seul additif autorisé : aucun édulcorant pour le goût ni l’aromatisation n’est accepté. Le degré minimal doit atteindre 40 % vol. Pour le whisky japonais, le titre volumétrique n’est pas fixé, et il est possible de mélanger des whiskies de différents pays.
L’origine du whisky est peu documentée, émaillée de légendes, et l’Écosse ainsi que l’Irlande revendiquent chacune être le berceau de l’eau-de-vie. Toutefois, comme pour tous les spiritueux, le whisky est né d’une longue succession de boissons qui ont évolué avec l’apparition de nouvelles technologies comme la distillation et les exportations.
L’histoire du whisky est d’abord européenne. L’un de ses ancêtres serait l’« uisque / uisce beatha », ou eau-de-vie en gaélique, connue des Irlandais au moins depuis le 11e siècle. À partir de là, les invasions et échanges commerciaux font voyager la boisson, dont la prononciation évolue avec le temps :
uisge beatha → usgebaugh → uisge → fuisce → uiskie → whiskie → whisky
La production du whisky semble bien installée en Écosse dès le 15e siècle. Jusqu’au 16e siècle, le spiritueux est encore incolore. Il commence à prendre de la couleur lorsque les Anglais, qui importent du xérès d’Espagne en fûts, réexpédient les tonneaux remplis de whisky. Ils constatent que ce mode de transport réduit l'oxydation. La barrique développe aussi le bouquet des whiskies et leur donne une couleur différente selon le type de bois et le format. Le vieillissement en fûts de chêne de capacité variable devient alors systématique.
Une nouvelle vague de développement arrive avec l’abolition des taxes sur le whisky aux États-Unis par Thomas Jefferson en 1802. Les distilleries s’y développent et le terme « bourbon » apparaît autour de 1850.
En 1853, le premier blend, assemblage de différents whiskies de malt et de grain, révolutionne l’industrie. Cela permet de produire des boissons moins typées, mais moins chers et plus facilement reproductibles au niveau du goût, important pour les acheteurs. Le déclin du whisky commence au début du 20e siècle (Prohibition, guerres mondiales…), la qualité ayant fortement baissé et les consommateurs voyant cette eau-de-vie comme un mauvais alcool.
Dans les années 1980, la renaissance du single malt, en opposition au blend, remet le whisky sur le devant de la scène.
Pour faire du whisky, 3 ingrédients sont indispensables :
L’orge est la céréale la plus utilisée, notamment pour produire les single malt, mais aussi en blend avec d’autres céréales. Pour les marques, le jeu est de trouver la meilleure combinaison entre céréales, eau, levure, assemblages et fûts de vieillissement.
La production du whisky se divise en 7 étapes :
L’élevage des whiskies se fait en barriques. Il est possible d’utiliser n’importe quel fût, neuf ou déjà utilisé pour plusieurs vins ou alcools, comme par exemple :
Les classements de whiskies sont nombreux (pays, alambic, appellations, marques…). On peut toutefois distinguer 5 grands types de whisky :
L’univers des whiskies paraît souvent complexe au néophyte, de par le goût, mais aussi avec la multitude de termes qualifiant le spiritueux. Voici une petite liste des mots récurrents pour y voir plus clair :
Le whisky demeure une boisson complexe du fait de l’importance du nombre de marques, d’origines, de styles et d’arômes. Les néophytes devraient commencer par découvrir des whiskies ronds pour ensuite aller vers des plus puissants ou tourbés. Une découverte par style (corn, rye, scotch, blended, single malt…), par pays (irlandais, écossais, japonais…) ou même par distillerie est aussi possible.
Pour bien déguster votre whisky, suivez ces conseils :
Les mixologistes ont aussi envahi le terrain des whiskies pour proposer des cocktails très intéressants. En voici quelqu’uns à tester absolument :
Commander du whisky en ligne reste compliqué tant la liste des références est longue. De plus, la dégustation est souvent impossible avant de créer votre panier. E-caviste spécialisé dans les vins et spiritueux du monde, j’accompagne mes clients dans leur sélection afin d’être sûr d’offrir le cadeau idéal. De nombreux détails sur les whiskies (pays, distillerie, arômes, cocktail…) sont disponibles sur les fiches techniques.
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